Caroline Millet vole une paire de baskets sur un marché. Dans sa précipitation, elle traverse une rue et se fait renverser par une voiture conduite par Hugo. Celui-ci emmène la victime, qui souffre de blessures superficielles, au presbytère. Erwan soigne Caroline et l'écoute raconter comment elle en est arrivée là. Depuis son divorce, elle peine à survivre avec ses deux enfants. Toute sa vie, elle a été femme au foyer et elle n'a ni diplôme ni expérience professionnelle. Erwan veut l'aider, mais Caroline est interpellée par le commissaire Perret. Elle est accusée d'avoir volé la carte de crédit de son ex-mari et d'avoir dépensé une somme très importante. Cette accusation peut lui coûter la garde de ses enfants...

Parce qu’elle a quelques kilos en trop, Amélie Guibert est victime de harcèlement moral de la part de Patricia Lazare, sa patronne, une femme aussi belle que cruelle. Le père Erwan et Hugo, témoins des difficultés de la jeune femme, aident Amélie à retrouver un peu de confiance en elle. Avec Diane, ils la poussent à se reprendre en main pour qu'elle se réconcilie avec son corps. Lorsque la jeune femme est arrêtée pour vol, le curé et le maire vont prouver qu’elle a commis ce geste par désespoir. Ils finissent par découvrir qu’Amélie est mal dans sa peau car elle porte depuis des années une lourde culpabilité, liée à un accident dont son frère a été victime...

Une nuit, une fidèle paroissienne de Villegrand fait irruption dans le presbytère et demande asile à Erwan. Virginie Morisset, 34 ans, vient de se sauver d'un hôpital psychiatrique et crie à l'internement abusif. Erwan, touché par le témoignage de la jeune femme en détresse, décide de lui porter assistance. Pour commencer, il va chercher du soutien auprès d'Hugo. Mais c'est alors que les choses se compliquent : le bourg est en pleine campagne municipale et le mari de Virginie n'est autre que Bruno Morisset, le numéro deux sur la liste d'Hugo Boski. Aider Virginie reviendrait à se priver d'un précieux allié à un moment critique...