Sir John Falstaff décide de courtiser Dame Page et Dame Ford, deux joyeuses bourgeoises de Windsor. Il leur envoie la même lettre d'amour, ne changeant que la signature. Quand les deux amies découvrent la manœuvre, elles décident de s'amuser aux dépens du séducteur goujat. Une pièce très gaie, unique en son genre dans l'oeuvre de Shakespeare.

Germain, grand séducteur, collectionne les maîtresses. On en compte quatre, toutes brunes, et toutes mariées. Lorsque l'époux de l'une d'entre elles débarque pour le menacer de mort, il doit rompre. Mais avec laquelle ? La gouailleur Robert Lamoureux interprète cet homme qui n'aime pas quitter les femmes.

Une petite ville d' Angleterre. Dix personnes ne se connaissant pas sont invitées à passer quelques jours dans une maison inconnue, pour une raison qui ne leur a pas été communiquée. L' auteur de l' invitation a conservé l' anonymat. Pourtant, les dix personnes sont au rendez-vous, chacune ayant, apparemment, une raison personnelle d' accepter la mystérieuse convocation. Les invités se retrouvent seuls dans la maison ; le maître de céans ne sœur montre pas. Or, un premier invité est assassiné, puis un second, puis un troisième, etc... Et chaque fois, nul ne sait comment, l'une des dix petites statuettes de nègres exposées dans le living-room disparaît...

Sur les conseils de son frère, Arlette a épousé Sébastien pour son argent, le croyant condamné par la maladie. Trois ans plus tard il est toujours bien vivant. Pour elle l'attente a assez duré, il faut se débarrasser de lui ! Mais comment faire ? Elle se tourne d'abord vers son frère qui vient de sortir de prison...

Fernand Bois d’Enghien est fiancé à une charmante jeune fille du monde et doit signer, le soir même, son contrat de mariage. Mais il doit, au préalable, rompre avec sa maîtresse, la divette Lucette Gautier et il vient la voir dans ce but. Mais les difficultés surgissent, alors. Rompra t-il ? Ne rompra t-il pas avec la volcanique Lucette Gautier ? De plus, il va se trouver aux prises avec un terrible général méxicain d’ une part et avec le clerc de notaire-chansonnier Bouzin.

Léo Bertold est un producteur de spectacles, totalement démuni d’argent. Il passe son temps à déménager d’hôtels en hôtels faute d’argent pour payer la note. Lui et sa troupe sont installés à l’hôtel Lucullus, pour mettre au point une pièce : Adieu Berthe. Tout irait pour le mieux, si le directeur général de la chaîne d’hôtels Lucullus n’avait pas débarqué avec ses comptables pour vérifier les comptes de l’hôtel. Dès lors, Léo Bertold va s’ingénier à gagner du temps et berner le directeur.

Au casino, André tombe amoureux de Sylvie, femme riche et distinguée, qui semble vivre une séparation délicate. Elle vient de lui soutirer une somme importante au Baccara et pour qu'il honore sa dette, lui propose de l'engager pour jouer un faux amant. Parviendra-t-il à mettre à profit cette nouvelle proximité pour séduire celle qu'il aime ?

Mortimer Brewster vient annoncer à ses tantes, Dorothy et Martha, deux charmantes vieilles filles qui l’ont élevé, son prochain mariage avec la fille du révérend Harper qui habite à quelques dizaines de mètres de là. Mais il découvre, caché dans un coffre sous la fenêtre, le cadavre d’un vieil homme. Ses tantes lui avouent alors, le plus naturellement du monde, qu’elles se sont fait une spécialité de supprimer les déshérités en vue de leur rendre service. Tout irait pour le mieux si leur autre neveu, Jonathan, un individu dangereux, ne débarquait pas avec son propre cadavre...