Ces pauvres machins, "terrassés par la pétoche", disent qu'ils sont des Shadoks. Certains disent en avoir vu sur la terre, mais ce sont des faux. Un vrai Shadok pompe, même si ça ne sert à rien (exemple de la pompe à faire pleuvoir et maximes pompiques : "je pompe donc je suis", etc).

Si les Shadoks paniquent, c'est qu'il leur tombe du ciel les trucs les plus divers (fourneaux, poubelles, bateaux, satellites). Le professeur Shadoko a une théorie : les trucs tombent parce qu'ils sont atteints de la tombomanie, maladie due au tombovirus, bestiole scélérate qui a contaminé le ciel Shadok.

Le professeur Shadoko a découvert la raison pour laquelle le ciel tombe sur la tête des Shadoks. Présentation de sa théorie "tombologique", régie par le principe de la "tombomanie", dont le "tombovirus" est à l'origine.

Selon le professeur Shadoko, les comètes et les planètes tombent parce qu'elles sont contaminées par le "tombovirus" de la tombomanie. Il explique également pourquoi il arrive que des casseroles, des poubelles, ou des fourneaux tombent du ciel, en évoquant le temps, où les "pithéshadoks" profitaient des trous de la "tombomanie", pour se débarasser de leurs détritus en les envoyant en l'air. La haute Académie de sorcellerie, repère du devin plombier (ou Devin Shadok), est également mis en cause dans la chute.

Tous les matins, le Devin Shadok prédit la fin du monde pour demain. Elle n'arrive pas, mais les Shadoks le croient et c'est bon pour son petit commerce. Outre des horoscopes, il vend aux Shadoks des fringues "anti-fin du monde" et des "paraciels", adaptés à leur signe pour se protéger du ciel qui dégringole.De son côté, le professeur Shadoko a mis au point un vaccin, afin de protéger les Shadoks du redoutable "tombovirus", et empêcher ainsi le ciel de tomber.

Profitant de la crainte des Shadoks de voir le ciel leur tomber sur la tête, le Devin Shadok (ou devin plombier) vend aux Shadoks des "paraciels", censés les protéger des objets qui leur tombent dessus. Etant donné que ces "paraciels" ne sont que de vieux parapluies de Shadoks rafistolés, dont la particularité était de faire tomber la pluie, là où il n'y avait pas de pluie, ces "paraciels" font tomber "du ciel", là où il n'en tombait pas....

Sur la planète des Shadoks, il tombe du ciel des bidons. Ne connaissant pas le signe du zodiaque du "grand bidon", cet événement laisse le "devin plombier" (Devin Shadok) dans le plus grand désarroi. Mais ce bidon a la particularité de se mettre à parler et à révéler des vérités sacrées, une fois qu'il a bu du thé.

Dans la vie des Shadoks, l'apparition du "tombovirus" a de bons côtés, dans la mesure où la chute des objets dont il est la cause, leur permettent de savoir de quel côté est le bas. En effet, avant que le "tombovirus" n'apparaisse, un Shadok qui souhaitait tomber du 28ème étage, devait lire une pancarte pour savoir où se situait le bas... Alors que le professeur Shadoko poursuit, en langue Shadok, son explication sur le "tombovirus" et expose aux Shadoks ce qui les attend, un bref cours de langue Shadok nous est donné.

Les prévisions du professeur Shadoko sur le sort des Shadoks nous sont incompréhensibles, de même que nous ne comprenons pas les Shadoks qui tremblent en l'écoutant. Par ailleurs, le commentateur ne veut plus traduire la langue des Shadoks. C'est pourquoi, le professeur Shadoko propose un appareil qui traduit la langue Shadok dans toutes les langues et inversement. On comprend maintenant ses terribles prévisions : tout le cosmos, et les Shadoks avec, vont se rétrécir, s'effondrer,

Le professeur Shadoko poursuit son exposé sur l'apocalypse qui menace les Shadoks, qu'il nomme le Big Blank. Il prédit que le Big Blank, dont il a fait un portrait robot, engloutira les Shadoks dans le néant. Le Devin plombier proteste. Selon lui, ce n'est pas le Big Blank, mais la fin du monde qui les attend. Ce n'est pas le néant mais l'enfer. Il en profite pour faire des promotions spéciales "anti-fin du monde".

Alors que les Shadoks sont menacés par le Big Blank avec son néant, ou par la fin du monde avec son enfer, le chef Shadok part trouver une solution dans le grand bidon, là où repose la "Vieille Légende", l'histoire des anciens Shadoks, leurs coutumes et leurs principes sacrés. Ce grand bidon s'avère être la bibliothèque nationale, dont la vieille bibliothècaire, "Mimi Légende", abreuvée de thé aux orties, consent à leur montrer comment leurs anciens faisaient face à toutes les calamités : ils pompaient !

"Mimi la Légende", la vieille bibliothècaire, sortie du grand bidon, détenteur de la "vieille Légende" des Shadoks, a appris à ces derniers qu'ils devaient pomper pour échapper au Big Blank. Mais pomper quoi ? Le professeur Shadoko a l'illumination. Puisque le cosmos s'effondre en se dégonflant, il propose aux Shadoks de le regonfler, afin de venir à bout de la calamité. Ils partent chercher la vieille cosmopompe. Après tant d'années, les Shadoks vont enfin repomper.

Les Shadoks ont entrepris de regonfler le cosmos avec la "cosmopompe", mais ces derniers ont perdu l'habitude de pomper, de plus, la cosmopompe servait à aspirer (le cosmogole gibi) alors que là il faut regonfler le cosmos, autrement dit pomper dans l'autre sens. Les Shadoks doivent se reconvertir dans l'art de pomper dans l'autre sens. Des écoles de hautes études de pompage sont créées pour recycler les Shadoks dans ce nouvel art de pomper. Des concours de pompage sont organisés entre écoles.

Sous la direction du professeur Shadoko, les Shadoks continuent de pomper pour regonfler le cosmos, et éviter ainsi le Big Blank ou la fin du monde. Face à l'immensité du ballon cosmique, la vieille cosmopompe a été améliorée. Désormais, toutes les activités des Shadoks, dès leur naissance, sont dédiées au pompage. Des clapiers ont été aménagés, où les travailleurs Shadoks peuvent pomper tout en vacant à leurs activités habituelles : chambres à pompe, cuisine à pompe, usine à pompe, bureau à pompe et chef à pompe.

Toute la population Shadok, rassemblée dans les clapiers de la mégapompe, pompe de la naissance jusqu'à la mort, et même au-delà. Les Shadoks pensent, parlent et chantent "pompe". Toute cette énergie pompique est récupérée par un système de tuyaux, filtres, échangeurs, récupérateurs... le souffle puissant ainsi créé doit gonfler le cosmos. Seul le marin Shadok refuse de pomper, au nom de la liberté.

Aux Shadoks les plus méritants en terme de pompage, ou fatigués d'avoir trop pompés, les autorités distribuent du sucre en poudre, dont le marin Shadok est l'unique fournisseur, dans la mesure où la mer sucrée des Shadoks, lui appartient.Malgré l'incessant pompage des Shadoks, le cosmos continue de s'effondrer. Le manque de synchronisation du pompage est mis en cause, c'est pourquoi une machine à pomper au pas a été conçue pour les discipliner.

La gigapompe, utilisée par les Shadoks pour regonfler le cosmos, ne donne pas de bons résultats. Les tombovirus continuent de faire des ravages... Le Big Blank est arrivé a ses fins, l'univers est réduit à un haricot. Il ne reste plus rien. Un problème se pose alors : sans Shadoks comment continuer à raconter leur histoire ?

Afin de synchroniser le pompage des Shadoks, le chef Shadok leur fournit la machine à pomper au pas, une machine à jouer l'hymne national Shadok. Toujours dans le but d'augmenter l'efficacité du pompage, le chef Shadok branche la machine à pomper au pas à la gigapompe.

Les shadoks pompent de moins en moins car le fait d'avoir brancher ensemble la machine à motiver et la gigapompe, le rythme de l'un pouvait influer sur l'autre... et la fonction de motivation de la machine à pomper au pas était de fait caduque. Selon le professeur Shadoko, il s'agit d'un problème de feed-back : l'effet devient la cause. Le savant exposé de Causologie universelle du professeur Shadoko est interrompu par le constat suivant : on ne peut pas gonfler le ballon cosmique si on est à l'intérieur de ce dernier.

Les Shadoks ont disparu, anéantis par le Big Blank qui règne sur le néant. Le néant est constitué de l'espace et du temps. Le temps est géré par Big-Clik et Big-Cock et l'espace est géré par Space et Mack.

Le temps et l'espace ont été réquisitionnés par le Big Blank, figeant ainsi les Shadoks. Exposé d'une philosophie sur le temps... Le téléspectateur, lassé que les Shadoks soient pétrifiés, passe à l'intérieur de la télé et "décoince" le temps... Décoincés, les Shadoks se mettent eux-mêmes à dévider le temps...

Grâce à la tempspompompe, la machine à pomper le temps, les Shadoks ont retrouvé la notion du temps. Mais les Shadoks sont condamnés à vivre la destinée, écrite par Big Blank sur le "Grand rouleau". Ainsi, les Shadoks dévident le grand rouleau sous la surveillance du Big Blank et de ses sbires.

Sur la planète des Shadoks, qui n'est pas ronde, les Shadoks ne peuvent revenir sur leurs pas, et une fois arrivés au bout de la planète, ils doivent faire attention au grand dépotoir qui peut tout engloutir. Un service de trains spéciaux est heureusement là pour déménager les Shadoks à l'autre bout de la planète. Malgré cela, quand un Shadok lance quelque chose en l'air, cela ne retombe jamais à l'endroit où il faut...

De nombreux Shadoks disparaissent dans le "Grand Dépotoir", car ils ratent souvent le train qui les amène d'un bout à l'autre de la bobine du temps. En effet, si les Shadoks connaissent le temps, ils ne connaissent pas l'heure. Ils tentent de savoir l'heure auprès du "Devin Plombier", en vain. Ils supplient finalement Big Blank. Ce dernier leur envoit ses deux sbires Big Click et Blig Clock.

L'existence des Shadoks sur leur plateau à rouleau est exténuante. La destinée que leur a écrite Big Blank les contraint notamment à construire des choses tellement compliquées qu'ils ne savent pas quoi en faire. C'est ainsi qu'ils inventèrent la télévision...

A peine ont-ils inventé la télévision que les Shadoks voient apparaître sur leurs écrans d'étranges animaux... La "Vieille Légende" leur raconte l'histoire de ces petits êtres, appelés "Gibis", qu'ont connus leurs arrières grands parents, et qui étaient partis travailler à Hollywood après la décomposition de la planète Shadok. Revenus de leur périple, ces charmants petits êtres chantent et dansent désormais dans des décors de paradis pour la télévision des Shadoks et les consolent ainsi de leurs malheurs.

Les Shadoks sont obligés de vivre aveuglemment ce que Big Blank avait prévu sur le "Grand rouleau". Le Devin sorcier propose d'amadouer le Big Blank en lui faisant des offrandes, mais ce dernier fait la sourde oreille. Le professeur Shadoko appelle les Shadoks à aller lire eux-mêmes ce qui est inscrit sur le "Grand rouleau", en vain.

A interroger le "Grand rouleau", à chercher dans ses tréfonds les réponses à leurs questions les Shadoks ont fait sortir du sol une sorte de pétrole visqueux qui les recouvre. Les Shadoks travaillent pour savoir ce dont il s'agit et font des prévisions absurdes à partir de ce liquide.

Les Shadoks continuent à faire des prédictions absurdes à partir du pétrole qui a surgi du "Grand rouleau". Ils font notamment des prévisions météorologiques. Afin de s'assurer la confiance des populations, le Chef Shadok se sert de la télévision pour faire croire que ce qui a été prévu s'est bien passé.

Les Shadoks continuent d'extraire des prévisions du "pétrole prévisionnel". Comme "tout ce qui est prévu doit arriver", les Shadoks font en sorte que les prévisions se réalisent. Ainsi, s'ils prévoyaient des accidents de voitures, alors que les voitures n'existaient pas encore sur la planète Shadok, il fallait que ces accidents aient tout de même lieu. Pris de "prévisionnite aiguë", les Shadoks se remettent à forer le grand rouleau.

Une nouvelle crise s'abat sur les Shadoks, appelée "la crise de la carotte folle", qui contamine les couteaux et fourchettes. Dans l'espoir de jours meilleurs, le chef Shadok continue à faire des prévisions. Il prévoit l'augmentation des impôts ; c'est ainsi qu'il passe chez les Shadoks dénicher leur argent.

Après la "crise de la carotte folle", la crise économique s'abat sur les Shadoks. A cette occasion, nous sont présentées quelques notions d'économie Shadok : la reine Conjoncture, la fille Crise, le roi Crédit, l'empereur Marché et sa fille Reprise, etc.

Les Shadoks veulent la peau du chef Shadok, en raison des impôts que ce dernier exige d'eux. Afin d'échapper à la vindicte populaire, le chef nomme des sous chefs qui se font tuer à sa place. La guerre s'abat chez les Shadoks, et le soir venu, ils se réjouissent de voir les Gibis à la télévision. Mais où sont les Gibis? Dans les trous de néant bien sûr.

Le narrateur reprend le fil du feuilleton, laissant de côté les problèmes de météo, de carottes folles et d'accidents de voiture. Afin de connaître l'avenir, les Shadoks continuent de creuser. Hélas, les "pétroles prévisionnels" leur annoncent maladies, souffrances et décrépitudes. Or, tout ce qui est prévu doit arriver, ainsi se débrouillent-ils pour devenir malade, souffrir et décrépir. Mais les Shadoks se révoltent et veulent prévoir le passer pour être enfin tranquille.

Désireux de prédire le passé, les Shadoks font ressurgir Napoléon, Adam et Eve, Noé, etc. Sur la planète Shadok, ce qui est prévu doit arriver, c'est pourquoi les Shadoks se mettent en phase avec leur nouvelle histoire. Le Napoléon Shadok, dit "Shadok Léon", nous est présenté. Les Shadoks jugent cette histoire trop triste et veulent un autre passé. Ainsi, ils creusent à nouveau et trouve "Shadok Colomb".

Les Shadoks creusent de nouveau, dans le but cette fois de sonder leur passé, et font ressurgir l'histoire du Cheval de Troie. Jugeant cette histoire trop triste, ils creusent à nouveau et tombent sur "Shadok Noé", puis "Shadok Adam" et "Shadok Eve, etc. Mais ce passé est toujours aussi triste.

Afin d'être plus heureux, les Shadoks ont entrepris de revivre leur passé, mais leur histoire ne leur plait pas. Aussi, s'ils remontent trop dans le temps, ils risquent de disparaître eux-mêmes. Le narrateur tente de remettre de l'ordre dans le récit de l'histoire des Shadoks. Vivant sur un rouleau, les Shadoks sont condamnés à vivre dans l'avenir comme dans le passé, maladies et autres calamités. Ils veulent tout de même savoir ce qu'il y a au bout du rouleau : la Bougrinette, autrement dit la mort.

Si les Shadoks continuent de pomper vers l'avenir, c'est la bougrinette qui les attend, autrement dit la mort. Ils décident de tuer la Bougrinette, condamnant la mort à mort. Mais s'il n'y a plus de mort, il n'y a plus de moyens de tuer, donc de manger. Les Shadoks se retrouvent atteints d'angoisses existentielles, appelées les "Zangsts".

Le narrateur fait le résumé des épisodes passés des Shadoks, à partir des trous qui constituent le néant Shadok, notamment le "trou à Gégène". Gégène est un insecte redoutable qui a décidé d'exterminer les Shadoks, en leur transmettant des maladies, parmi lesquelles les "Zangsts" qui s'attaquent à l'intelligence Shadok.

Sortis du "trou à Gégène", les "Zangsts" débarquent sur la planète Shadok et s'attaquent au cerveau des Shadoks sous de nombreuses formes : paranoïos, névrosos, psychosos, maniacos, etc. Les "Zangsts", comme les autres maladies, ont la faculté de créer des organes. C'est ainsi que les Shadoks assistent à leur transformation physique.

Les Shadoks, terrassés par les "Zangsts", sombrent dans la démence. Leurs têtes se mettent à enfler et leurs "cerveaux poubelles" à proliférer. Leur espace cérébral, devenu gigantesque, les Shadoks se mettent à réfléchir.

Ravagés par les "Zangsts", les cerveaux parasites des Shadoks continuent à proliférer. Les Shadoks sont ainsi atteints d'un dysfonctionnement cérébral, appelé aussi, réflexion, intelligence, ou conscience. A force de penser, les Shadoks deviennent fous. Afin de les guérir, le Devin plombier les "psychodomise", en les invitant à descendre au plus profond de leur mécanique intime pour aller à la recherche de leur moi. Le Devin plombier résume la "psychodomie" Shadok à une affaire de plomberie.

Les Shadoks sont allés se faire "psychodomiser", à la recherche de leur vrai "moi", et sont tombés dans le gouffre de la "limbido", laquelle, à la différence de la libido du téléspectateur, est déserte et vide. Le moi des Shadoks n'est pas dans ce gouffre, les "Zangsts" ayant mangé les Shadoks et leur moi.

La "psychodomie" du Devin plombier ayant échoué, les Shadoks essaient la "psychocybernétique" du professeur Shadoko, qui consiste à rafistoler la "mécanique pensarde" Shadok à l'aide du grand "psychordinateur". Ce dernier leur fournit la logique Shadok et automatise leur ressenti et leur mode de communication, afin de faciliter leur existence.

La "psychocybernétique", qui a automatisé les Shadoks, déplaît aux "Zangsts". Ils décident de contaminer les Shadoks par différents virus, déréglant ainsi leurs comportements automatiques. Ils se mettent à faire tout à l'envers, et leurs mauvaises pensées reviennent...

La Bougrinette, autrement dit la mort, s'approche des Shadoks. Le Devin plombier annonce qu'il est capable d'arrêter le temps en coupant le rouleau et vaincre ainsi Big Blank. Mais ces pouvoirs magiques ne fonctionnent plus. Depuis leur trou de néant, les Gibis décident de les sauver, en leur envoyant la "Machine".

Afin de sauver les Shadoks, les Gibis ont envoyé aux Shadoks leur machine secrète, le "Muto-maton", qui permet de muter n'importe quoi. Les Gibis espèrent que les Shadoks se muteront en Gibis et pourront ainsi fuir le rouleau du temps et la mort à venir. Les "Zangsts" refusent l'intelligence Gibi. Et voilà les Gibis souffrant des mêmes maux que le Shadoks... Abandonnés par les Gibis, vite retourner chez eux se soigner, les Shadoks décident de se muter eux-mêmes.

La Bougrinette, la mort des Shadoks, s'approche de plus en plus. Les Shadoks veulent muter à l'aide du "Muto-maton" Gibi, et des gégènes présents dans leur corps. Une question se pose alors : en quoi muter ?

Les Shadoks se présentent devant le "Muto-maton" pour se faire muter. Le Devin plombier est mécontent de se voir ainsi dépasser par une machine, et sabote le "Muto-maton". Les "gégènes mutagènes" de la machine dégénèrent et les Shadoks mutent de travers.

Les "gégènes" Shadok dégénérés, pris d'une folie mutagène, font la foire dans le "Muto-maton", mutant ainsi les Shadoks à la chaîne et en tous sens.

Les "gégènes" déments submergent la planète Shadok d'horribles mutants en fer. C'est la Bougrinette, la mort promise, qui arrive. Les Shadoks sont saucissonnés, empalés, grillés. Big Blank, lui-même, ne peut cesser le désastre, et tire le rideau. Mais, les spectateurs jugent cette fin trop triste. Le narrateur propose une nouvelle fin : le marin Shadok emporte les survivants et part avec eux pour aller vivre dans son île sous-marine. Il emporte notamment avec lui un poisson mutant raté, nommé Bébert.