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Season 2
"Mais comment fait-il pour avoir la force d'être Michael Jordan tous les soirs ? " Bill Russell
Le grand Bill a bien raison de poser la question et il n'est d'ailleurs certainement
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"Mais comment fait-il pour avoir la force d'être Michael Jordan tous les soirs ? " Bill Russell
Le grand Bill a bien raison de poser la question et il n'est d'ailleurs certainement pas le seul. Car être Michael Jordan c'est atteindre le niveau maximum qu'un joueur de basket puisse espérer et... y rester tellement longtemps que même les plus grands champions se demandent comment c'est possible ! La recette ? Du talent bien évidemment, des qualités athlétiques hors du commun, une technique impressionnante, un mental en acier trempé et quelque chose qu'on a parfois tendance à oublier : une capacité de travail surhumaine qui a toujours permis à Mike de se maintenir au top voire de s'améliorer encore et encore et encore...
Après la partie 1 de l'épisode #23 qui traitait des premières années de la fabuleuse carrière du meilleur joueur de tous les temps, The Ball Never Lies s'intéresse donc cette fois au règne de Son Altesse Jordan. Cette période où les titres, les récompenses personnelles et autres exploits en tous genres se sont enchaînés avec une telle régularité que ça en devenait écœurant pour les adversaires !
Ce ne sont pas Clyde Drexler, Charles Barkley, Gary Payton, Shawn Kemp, Patrick Ewing, Karl Malone ou John Stockton qui viendront nous dire le contraire...
Installez-vous confortablement et réglez bien le son, la deuxième saison de TBNL démarre maintenant !
Dans l'histoire NBA, combien d'ailiers peuvent attraper une balle en pleine course sur contre-attaque tout en enchaînant par une passe dans le dos à un coéquipier démarqué dans le corner
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Dans l'histoire NBA, combien d'ailiers peuvent attraper une balle en pleine course sur contre-attaque tout en enchaînant par une passe dans le dos à un coéquipier démarqué dans le corner ? Combien d'ailiers peuvent distribuer le caviar comme des oligarques russes ? Combien d'ailiers peuvent vous martyriser depuis le poste bas tout en étant capable de vous punir dans le périmètre ?
Combien d'ailiers peuvent prendre un rebond, remonter la balle à vitesse grand V et faire une passe aveugle à un joueur arrivant lancé comme une bombe ? Combien d'ailiers peuvent envoyer un alley-oop depuis le milieu du terrain aussi aisément que les meilleurs meneurs ayant jamais tripoté la balle orange ?
Ils ne sont pas beaucoup... On pense à Larry Bird, à Scottie Pippen, à Grant Hill, à LeBron James et, très clairement, Boris Diaw fait partie de ce club très fermé. Le club des «Point Forwards», ces joueurs qui jouent ailier et qui nous montrent autant de «qualités d'arrières» que de «qualités d'ailier pur». Oui, Boris Diaw côtoie des monstres du basket lorsqu'il s'agit d'évoquer cette catégorie de joueurs géniaux que sont les Point Forwards...
Il existe des paquets de joueurs pouvant se targuer d'avoir fait une carrière plus longue ou plus fournie en titres collectifs ou individuels mais ils ne sont pas tant que ça à avoir
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Il existe des paquets de joueurs pouvant se targuer d'avoir fait une carrière plus longue ou plus fournie en titres collectifs ou individuels mais ils ne sont pas tant que ça à avoir fait vibrer les fans autant que Gilbert Arenas a pu le faire.
"Vous savez, vous devez tous comprendre le coeur que Gilbert met dans ce jeu, à quel point ce garçon adore le basket." Gilbert Arenas Sr (le père)
Gros bosseur, shooteur fou et ultra clutch, véritable petit TGV une fois lancé vers le cercle l'Agent Zéro a fait de nombreuses victimes sur les parquets. Oh oui... Des défenseurs écœurés, des équipes dévastées ou des coachs sans réponse, Gilbert en laissé pas mal derrière lui.
"Il (Arenas) ne semble pas avoir vraiment de conscience. Je pense réellement qu'il n'en a pas. Quelques uns des tirs qu'il a pris ce soir, si vous les ratez, ce sont juste de shoots horribles. Horribles. Si vous les rentrez, ce sont des tirs incroyables. Je n'ai pas souvent la chance de jouer contre lui donc je ne suis pas suffisamment habitué à cette mentalité de rentrer dedans comme ça. Il a rentré de gros tirs ce soir mais je serai prêt la prochaine fois." Kobe Bryant après en avoir pris 60 sur le museau
Il a l'air impressionné et pourtant en terme de grosse performance, il s'y connaît plutôt bien l'ami Kobe... L'arrière Angelino n'est pas le seul à avoir souffert des frasques basketballistiques d'Arenas. Mais ça, c'était avant car, aujourd'hui, Gilbert n'a que 32 ans et il n'est déjà plus en NBA depuis presque deux ans. Et malheureusement, la probabilité d'un retour de celui qu'on a également surnommé "The Hibachi" ou "The Black President" s'amenuise de plus en plus au fur et à mesure que le temps passe.
Une grande tristesse pour tous les fans de balle orange que The Ball Never Lies va tenter d'atténuer avec ce petit portrait tout aussi péchu que réaliste ou émouvant...
Un meneur, un arrière pur et un swingman. Tim Hardaway, Mitch Richmond et Chris Mullin. Trois joueurs qui ont formé l'un des Big Three les plus excitants de l'histoire NBA. Trois joueurs
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Un meneur, un arrière pur et un swingman. Tim Hardaway, Mitch Richmond et Chris Mullin. Trois joueurs qui ont formé l'un des Big Three les plus excitants de l'histoire NBA. Trois joueurs qui ont enflammé chaque parquet sur lequel ils ont eu l'occasion de pratiquer leur basket ultra-offensif entre 1989 et 1991.
"Le temps ne pourra jamais effacer la marque indélébile laissée par le Run TMC sur les Warriors et même sur la NBA." Scott Howard-Cooper, analyste sur nba.com depuis 1998.
Cette phrase résume à elle seule tout ce représente cette triplette magique des Warriors. Sous la direction de Don Nelson, Tim, Mitch et Chris nous ont régalé et même si l'aventure n'a duré que deux petites saisons, aucun fan NBA ne les oubliera. Pourquoi ? Parce que ce trio de joueurs extérieurs attaquait tellement vite, tellement bien, tellement agressivement et avec tant de feeling qu'il est devenu une des plus grandes références de la balle orange en terme de "Run and Gun".
Hardaway distribuait et scorait, Richmond faisait de tout et scorait et Mullin...scorait. Trois fous offensifs qui se sont parfaitement trouvés quasiment instantanément dès qu'ils ont eu l'occasion de partager la gonfle.
"Dès que nous nous sommes retrouvés ensemble sur le terrain, ça a fonctionné." Chris Mullin
Et bien, ça s'est vu cher Chris ! Et pas qu'un peu. Un seul vrai regret : que ça n'ait pas duré plus longtemps ! Qu'a cela ne tienne, The Ball Never Lies se charge de faire durer le plaisir...
Un jour, le célèbre Hall of Famer Gail Goodrich a décrit Gary Payton comme étant "probablement le meneur le plus complet ayant jamais foulé un parquet" ! Rien que ça ! C'est dire à quel
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Un jour, le célèbre Hall of Famer Gail Goodrich a décrit Gary Payton comme étant "probablement le meneur le plus complet ayant jamais foulé un parquet" ! Rien que ça ! C'est dire à quel point Payton a marqué les esprits en 17 ans de NBA.
Trashtalker tout aussi inspiré qu'irritant, défenseur tout aussi collant que vicieux et attaquant tout aussi bon passeur que scoreur, Gary est le 4ème intercepteur le plus prolifique de l'histoire (2 445 vols), le 8ème plus gros passeur décisif (8 966 caviars) tout en ayant enfilé presque 22 000 points (21 813 exactement) ! Des stats qui le placent parmi les meilleurs meneurs de l'histoire.
Mais au delà des stats, des trophées, des sélections All Star ou All NBA, c'est bien évidemment la grande bouche de Payton qui a laissé des souvenirs indélébiles à tous les fans de balle orange ainsi qu'à tous les coéquipiers ou adversaires de celui qui fut surnommé "The Glove". Ce joueur, qui pouvait tout faire sur un terrain, prenait avant tout un malin plaisir à travailler au couteau le mental de ses opposants soir après soir. Avec lui, les Supersonics de Seattle ont été une des meilleures et des plus excitantes franchises des années 90. Sa défense a étouffé bon nombre de meneurs ou d'arrières, son duo avec Kemp a fait se lever des foules entières et ses provocations verbales ont failli rendre fou un nombre incalculables de joueurs.
"On a parfois envie de lui rentrer dedans mais il emmerde quand même plus nos adversaires que nous." George Karl
En une phrase, coach karl a résumé les liens bien spécifiques qui l'ont uni à Gary Payton et qui permettent aujourd'hui encore aux Sonics d'être dans le cœur de tous les amateurs de NBA.
Il fait partie de ces joueurs dont la carrière n’est que trop rarement reconnue à sa juste valeur. Il fait partie de ces monstres de la balle orange dont les doigts sont vierges de
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Il fait partie de ces joueurs dont la carrière n’est que trop rarement reconnue à sa juste valeur. Il fait partie de ces monstres de la balle orange dont les doigts sont vierges de bagues mais dont l'épopée en NBA a marqué des générations entières de fans !
« Nous avons eu l’ère Mikan, l’ère Russell, l’ère Kareem… Maintenant, nous allons avoir l’ère Ewing. »
Voilà ce qui se murmurait chez les scouts de la Grande Ligue juste avant la draft de 1985 qui vit le pivot numéro 33 être choisi en première position. Dans un sens, ce n’est pas faux.. Patrick Ewing est un géant des raquettes NBA. Un pivot craint pour ses contres et son goût du combat, admiré pour sa technique ou son charisme et respecté pour son âme dédié au basket, son engagement sans compromission pour cette immense franchise que sont les Knicks. Le grand Pat c’est 21 points, presque 10 rebonds et 2,4 contres de moyenne en presque 1200 matchs de saison régulière.
Celui qu’on surnommait « Big Pat » ou « The Beast » a eu une grande carrière, pleine d’émotions, de moments intenses et de performances dantesques. Une carrière que New York, le Basketball et tous ses fans n’oublieront jamais. Une carrière que The Ball Never Lies retrace dans son épisode #28…
Quand on passe en revue la carrière de Baron Davis, le mot "bague" ne vient même pas à l'esprit puisque ce joueur spectaculaire et attachant n'a tout simplement jamais vu ne serait-ce
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Quand on passe en revue la carrière de Baron Davis, le mot "bague" ne vient même pas à l'esprit puisque ce joueur spectaculaire et attachant n'a tout simplement jamais vu ne serait-ce que la couleur d'une finale de conférence.
"Il est, de loin, le meilleur meneur de la ligue actuellement." LeBron James à propos de B-Davis en 2007
Si c'est King James qui le dit alors... La NBA a vu défiler des rois, des princes, des divas, des starlettes ou encore des marsupilamis en tout genre mais il n'y a eu et il n'y aura qu'un seul Baron ! Un noble du basket amateur de gros dunks et de pénétrations tout en puissance, un meneur tout aussi scoreur que playmaker qui a évolué dans la Grande Ligue tout au long des années 2000 et dont la détente de kangourou, la capacité à planter des points ou le sens de la passe ont été un régal pour les fans.
"Vous pouvez le mettre tout là haut avec Shaquille O'Neal et Tim Duncan en termes de leadership et de potentiel MVP !" Magic Johnson (en 2004) dans son style toujours aussi réaliste et pas du tout dans l'exagération...
De Charlotte à New York, en passant par la Nouvelle-Orléans, Golden State et Los Angeles, Davis a eu une carrière nourrie de quelques superbes performances et surtout, il a toujours tout donné et il a laissé des marques indélébiles dans l'égo de ses adversaires ou dans le cœur des supporters.
The Ball Never Lies retrace ici les 13 saisons de ce Baron dont la drogue était une balle orange...
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