L'enquête de ma vie

Alors qu'il dirige le groupe de répression des vols d'objets d'art, le commandant Erhardy se retrouve confronté à une affaire incroyable : le vol de cinq tableaux de maîtres au Musée d'art moderne de la ville de Paris, dans des conditions assez rocambolesques. Butin estimé : cent millions d'euros. Il nous raconte une enquête au cours de laquelle les rebondissements vont se multiplier et un dossier qui conserve aujourd'hui encore une part de mystère.

Le capitaine Stéphane Touvet se remémore la première grande enquête qui lui a été confiée après son arrivée au groupe homicide de la section de recherche de la gendarmerie de Paris. Tout commence le 19 juillet 2004 avec la découverte d'un corps de femme ligoté, bloqué dans l'écluse de Fresnes sur Marne. Le lendemain, un second corps est retrouvé dans les même circonstances. L'affaire prend alors une tout autre dimension.

Le 26 juin 1999, un hélicoptère descend au-dessus de la cour de promenade de la prison des Baumettes, à Marseille, cinq prisonniers s'accrochent aux filins jetés depuis l'appareil et prennent le large. Chef de groupe à la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire de Marseille, Pierre Folacci est chargé de ce dossier. L'enquête sur cette évasion va bouleverser ses certitudes.

Boris Verrières, commandant de police, revient sur l'affaire qui a particulièrement marqué ses 25 ans de carrière à la brigade criminelle. Il s'agit de la disparition d'un père de famille sans histoire, survenue à Sète, au mois de juin 2014. Le disparu se nomme Patrick Isoird, il a 49 ans. Deux suspects émergent rapidement ainsi qu'un lien avec une affaire plus ancienne. Mais les preuves manquent cruellement.

Estelle Vaucher-Grondin, adjudante-cheffe de gendarmerie, est une spécialiste de la recherche de fugitifs et une experte de la reconnaissance faciale. Recrutée par l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité, les génocides et les crimes de guerre, elle est chargée, en juillet 2019, de retrouver Félicien Kabuga, accusé d'être le financier du génocide rwandais. L'homme est recherché depuis 23 ans.

Le 20 novembre 2008, la bijouterie Cartier du 8e arrondissement de Paris est le théâtre d'un remarquable vol par ruse. Une bague estimée à 634 000 euros est dérobée par une femme d'une soixantaine d'années, assistée d'un complice. Ce vol sans violence et sans arme est bien différent des affaires auxquelles Frédéric Mas, de la Brigade de répression du banditisme, est habitué. Elle va le mener sur la piste de voleurs internationaux, as de la manipulation.