Fishing Adventurer

De retour à Cuba, Cyril est à la recherche de deux poissons énormes, le dangereux barracuda à la mâchoire redoutable et l’acrobatique tarpon, un prédateur casseur de cannes! Des marécages à la Baie des Cochons, Cyril est sur la trace des ces poissons formidables !

À deux pas de la province de l’Ontario et à quelques heures de vol de la Baie James, Cyril est en Outaouais, à la chasse d’un magnifique prédateur d’eau douce, le brochet ! En canot, de portages en portages, de lacs inexplorés en rivières agitées, en hydravion ou en hélicoptère, Cyril est sur sa piste, dans une course tambours battants…

Cyril est en Oklahoma, un état d’Amérique hostile, à la fois sec et humide, abritant de nombreuses créatures dangereuses voir carrément mortelles ! Il est ici pour saisir à mains nues le puissant poisson chat américain, pouvant mesure la taille d’un homme, et ce, sans tomber sur les becs tranchants des tortues d’eau douce ni sur les crocs des venimeuses vipères…

C’est au Texas, pays des cowboys et autres desperados que nous retrouvons notre Mordu à la quête d’un des poissons les plus vieux et dangereux de la Planète… le brochet alligator, ou alligator gar ! Ce poisson pouvant peser plus de 100kg ressemble à s’y méprendre à un alligator. Sa mâchoire n’a d’ailleurs rien à lui envier. Cyril a décidé d’aller sur les traces d’un de ces monstres afin de l’étudier de plus près !

Cette fois c’est en Floride que nous retrouvons Cyril. Il a entendu parler de pêcheurs extrêmes qui prennent des poissons énormes à la ligne à la main… les fameux mérous géants, des poissons capables d’avaler tout cru des requins ! Cyril va en voir de toutes les couleurs face à ces monstres préhistoriques. Bras en compote, cannes pulvérisées, il va se faire malmener par ces ogres sous marins mais son objectif ne change pas, il faut qu’il en prenne un, et un gros !

L’université de Floride du Sud a chargé Cyril de collaborer à leur étude sur les mangeurs d’hommes. Notre Mordu va devoir prélever des échantillons de salive directement dans les gueules acérées des squales avant de les libérer. Ces échantillons vont permettre aux scientifiques d’élaborer des antibiotiques pour élaborer des antibiotiques pour soigner les blessures dûes à des morsures de requins. Mais pour cela il faut d’abord les prendre… et de préférence les gros, plus dangereux pour l’Homme !