Richard se rend à Lévis afin de découvrir la scène musicale chrétienne-évangélique.

Richard Martineau rencontre Bernard Landry, ancien chef du Parti québécois.

Richard Martineau rencontre Raymond Gravel, prêtre et député du Bloc québécois.

Richard discute avec Christopher Hitchens, un homme qui appuie Bush et la guerre en Irak.

Le coanimateur des Francs-tireurs, Patrick Lagacé, interviewe un chauffeur de taxi de Montréal-Nord, Stanley Bastien

Patrick Lagacé accompagne Antoine Bertrand dans une école secondaire de Verdun.

Patrick Lagacé fait une entrevue avec Régis Labeaume, maire de la ville de Québec.

Richard Martineau et Patrick font un voyage dans le temps au Chez-nous des artistes.

Patrick Lagacé cuisine avec Éric Salvail et discute de l'émission 'Occupation double'.

Un entretien entre Patrick Lagacé et Stéphan Bureau.

Patrick Lagacé se rend à une petit déjeuner-conférence organisé par Hockey Ministries.

Patrick Lagacé croise le fer avec Gilles Duceppe.

Richard Martineau rencontre Alain Simard, président de l'équipe Spectra.

Le créateur et metteur en scène Dominic Champagne revisite l'univers musical des Beatles.

Cette semaine aux Francs-Tireurs, pour la dernière de cette onzième saison, une émission spéciale entièrement tournée à Détroit, l’une des villes américaines les plus sévèrement touchées par la crise économique et dont le taux de chômage, crise de l’automobile oblige, demeure l’un des plus élevés aux États-Unis. Au menu : images désolantes d’une ville en ruine, reportages et entrevues exclusives avec des gens qui ont tout perdu. Aussi, rencontres avec des réfugiés iraquiens qui ont choisi de vivre dans cette métropole en décrépitude qui évoque des images troublantes de fin du monde et d’apocalypse. Notre animateur, Richard Martineau, explore cette ville en déclin où les maisons abandonnées foisonnent autour des usines désaffectées et des théâtres en décomposition, qui témoignent avec désolation de l’impitoyable réalité économique qui frappe cette ville de l’État du Michigan, jadis berceau de l’automobile et de la musique Motown, devenue le nouveau refuge pour des milliers d’Irakiens, une terre d’accueil qui rappelle étrangement Bagdad... sans les bombes.