F1 à la Loupe

Le 10 septembre 1944, se conclut le destin d’un certain Robert Benoist, aviateur, résistant français, mais avant tout, pilote de course oublié. Chronique, donc, d’un destin inouï qui, au final, n’aura été qu’un interminable enchevêtrement entre les affres de la guerre… et les exploits en sport automobile.

Pour la famille Andretti, 2024 fut l'année de tous les rebondissements. Rejeté par Formula 1, le projet des Américains, soutenu par General Motors et sa marque Cadillac, est finalement revenu dans les bonnes grâces de Liberty Media. Mais pourquoi ? Et si je vous disais que la réélection de Donald Trump avait joué un rôle déterminant en vue d’enfin accueillir ce onzième larron, en F1 ?

Il y a une part de moi qui, au-delà de raisons politiques et marketing que j'avais exposées dans une précédente vidéo, ne comprend toujours pas le sens de ce transfert sportif. Pessimiste de nature, j'ai donc essayé d'imaginer... ce que la confrontation Hamilton / Leclerc chez Ferrari pourrait enfanter de pire en 2025.

Si Max Verstappen doit tomber en 2025, j’ai peine à croire que sa future paternité en soit l'origine… au contraire de trois autres signaux bien plus pragmatiques et plus inquiétants qui émanent de sa propre écurie, Red Bull. Et voyons lesquels.

J'ai une théorie (et un léger coup de gueule) : les essais hivernaux en F1, c'est beaucoup de bruit pour rien, particulièrement en 2025. La médiatisation dont ces tests bénéficient depuis quelques années, couplée au contexte dans lequel s’inscrit cette saison et à la diminution drastique du temps de roulage autorisé, accentue d'ailleurs cet effet "Commedia dell'arte". Et voyons pourquoi.

Qu’est-ce que la chanson « Highway to Hell » appliquée au GP d’Australie 2025 de Formule 1 ? Une autoroute apparente pour McLaren et Lando Norris ; déjà l’enfer pour Ferrari, Lewis Hamilton et Charles Leclerc, et un aller simple pour les frêles rookies qui composent la grille…