Et si pour une fois vous alliez au bout de vos rêves ? Si 2013 était l'année où tout devient possible ? Huit Français sur dix aimeraient changer de vie. Et c'est beaucoup plus simple qu'on ne le croit. Nouveau job, nouvelle façon de vivre ou nouveau pays à explorer : comment rendre concrets et accessibles les projets qui vous tiennent à cœur ? Ce soir vous allez découvrir des Français qui ont osé se lancer... Alors, pourquoi pas vous ?

C'est un scandale quotidien. Nous le vivons chez nous. Le plus souvent, sans nous en rendre compte : nous gaspillons de la nourriture. Énormément de nourriture. Chaque année, 2,4 millions de tonnes d'aliments finissent dans nos poubelles. Cela représente près de 30 kg de nourriture jetée par chaque Français. De 400 à 1 000 euros par an ! Et le pire, c'est qu'une grande partie de ces aliments est encore emballée… Comment, aujourd'hui, chez nous, un tel gâchis alimentaire est-il possible ? Producteurs, distributeurs, consommateurs, qui sont les responsables ? Et surtout, comment faire pour améliorer les choses ? Car des solutions existent.

Les Français seraient-ils nostalgiques ? Voitures, vêtements, déco mais aussi alimentaire : dans de nombreux domaines, les objets cultes des années passées sont de retour et les marques mythiques comme Benco, Moonboots, ou Casio connaissent une nouvelle jeunesse. Les consommateurs y associent souvent la qualité et le savoir-faire. Simple mode ou tendance lourde, certains ont, en tout cas, décidé de profiter à fond de cet engouement pour l'ancien et pour les marques incontournables. Mais les enseignes, justement, abusent-elles parfois de leur histoire et leur arrive-t-elles de sur-jouer la tradition et l'authenticité ?

Qu'y a-t-il de commun entre la tour Eiffel, les cimes enneigées des Alpes ou un village médiéval de Dordogne ? Tous font partie de ce que la France a de plus précieux : son patrimoine. Parce qu'il est chargé d'histoire, bien sûr, mais aussi parce qu'il est une incroyable source de richesses. Grâce aux visiteurs tout d'abord : chaque année, 75 millions de personnes viennent en France pour admirer ses paysages naturels ou l'un de ses 44 000 monuments historiques. Mais le « patrimoine » français c'est aussi du commerce d'œuvres d'art, des restaurants et des hôtels qui font le plein aux abords des sites. Et cela rapporte : plus de 15 milliards d'euros en 2011 ! Un joli pactole qui éveille bien des appétits.

L'État dépense-t-il correctement l'argent de nos impôts ? C'est une question que nous nous posons tous très régulièrement. Alors que le gouvernement demande de gros efforts aux Français, la rédaction de Capital a voulu savoir comment sont utilisées les sommes récoltées auprès des contribuables. L'argent est-il jeté par les fenêtres ? L'administration fait-elle les mêmes efforts que nous ? Impôts locaux qui ne cessent d'augmenter, cagnottes secrètes d'argent public distribuées parfois sans aucun contrôle, agences de l'État à l'efficacité contestable et qui coûtent très cher, sous-préfectures souvent inutiles mais qui continuent de fonctionner, vous découvrirez qu'il y a encore beaucoup à faire pour éviter le gaspillage et mieux maîtriser les dépenses publiques.

En 1980, le patron le mieux payé de France gagnait 351 fois le SMIC. Trente ans plus tard, le mieux rémunéré des patrons français touche 548 fois le SMIC. Difficilement compréhensible aujourd'hui, pour une majorité de Français quand la moitié de la population gagne moins de 1 800 euros par mois. Alors, pourquoi les salaires stagnent-ils dans certaines entreprises ? Entre les employés de grandes sociétés qui ont droit à de nombreux avantages et des salariés à temps partiel qui ne s'en sortent pas, là encore les écarts se creusent. Pourquoi certains traders ou footballeurs gagnent-ils des millions alors que les revenus des professeurs ou infirmières n'augmentent pas depuis des années ? Pour nombre de Français, ces inégalités de salaires sont difficiles à admettre. Capital a enquêté sur la question.

Ils sont malins, inventifs. Ils ont souvent une longueur d'avance sur les policiers. Cartes bancaires, comptes en banque, téléphones, fausse monnaie : ils s'attaquent à tous les domaines. Et surtout, ils parviennent à détourner des sommes énormes avant d'être arrêtés : les escrocs en tout genre coûtent chaque année des milliards d'euros à la collectivité. Leurs victimes : des particuliers en premier lieu mais plus seulement. La crise aidant, ils prennent de plus en plus de risques et s'attaquent aussi aux banques, aux entreprises et même à l'État ! Qui sont ces arnaqueurs ? Quelles sont leurs nouvelles techniques pour nous soutirer de l'argent et comment lutte-t-on contre eux ? Ce soir, Capital part à la chasse aux escrocs.

Savons-nous vraiment ce que nous mangeons ? Visiblement la réponse est « non », surtout depuis que l'on sait que l'on peut trouver du cheval dans les lasagnes au bœuf ! Capital a donc décidé d'aller plus loin et de passer votre assiette au crible. Son contenu, bien sûr, mais aussi les emballages de tout ce que vous mangez. Une enquête qui va vous mener dans les secrets de la cuisine industrielle. D'où viennent les produits utilisés dans les plats préparés ? Qui les contrôle ? Qu'implique la course folle aux prix toujours plus bas dans l'alimentaire ? Et, en définitive, peut-on encore avoir confiance en ce que l'on nous dit ? Ce soir, nous vous proposons d'y voir enfin plus clair. Nous avons enquêté sur les secrets des fabricants de plats cuisinés, y compris sur leurs méthodes pour inventer ce que nous mangerons demain. Vous découvrirez également les conséquences que les emballages de nos aliments peuvent avoir sur notre santé. Que cachent réellement nos assiettes ? C'est ce soir dans Capital.

Aujourd'hui, concurrence acharnée et situation économique obligent, bon nombre d'entreprises sont sous pression. Et cette pression, ce sont souvent les salariés qui la vivent au quotidien : obligation de résultats toujours plus élevée, exigence de gain de productivité, voire renoncement à des avantages. Mais certains patrons vont parfois bien au-delà, voire dérapent carrément. Pensant protéger leur société et leurs intérêts, ils se permettent tout : espionnage de leurs employés, fichage, chantage, harcèlement, cela peut aller très loin. Ce soir, Capital enquête et dénonce des pratiques taboues dans l'entreprise, souvent indétectables et quasiment toujours illégales.

Qu'est-ce qui bloque en France ? Pourquoi la machine semble coincée depuis tant d'années ? Nous avons mené l'enquête. Et le chef de l'État répondra aux questions que vous vous posez ! Le chômage va-t-il enfin reculer chez nous ? Vous verrez, grâce à nos reportages, comment chez certains de nos voisins, on a quasiment réglé le problème, notamment pour les jeunes. Comment en finir avec ces règles trop nombreuses qui nous paralysent ? Exemple : le logement : on en manque en France… Et pourtant les freins à construction sont innombrables. N'est-il pas (enfin) temps que cela change ? Vous verrez que dans la chasse au gaspillage de l'argent public, il y aurait des moyens de réduire bien davantage les dépenses, notamment en luttant plus sévèrement contre les arrêts maladie abusifs. Et puis, sommes-nous condamnés à être moins performants que les Allemands ? Nous avons suivi des entreprises françaises qui arrivent à gagner le match face à l'Allemagne. Qu'est-ce qui coince en France et comment débloquer le pays ?

L'été, c'est le moment de tous les dangers pour notre porte-monnaie. Et parce que la crise plombe de plus en plus le revenu des ménages, cet été, plus que jamais, les Français vont tenter de gérer leur budget au plus juste. Mais peut-on y parvenir facilement ? À quelques jours des départs en vacances, la rédaction de Capital a donc enquêté sur les dangers qui vous guettent. Les sites Internet qui vous proposent des voyages de luxe à prix cassés sont-ils vraiment de bonnes affaires ? Êtes-vous bien ou trop assuré lorsque vous partez en voyage ? Les supermarchés sur vos lieux de vacances profitent-ils du soleil pour gonfler leurs prix ? Les séjours linguistiques pour enfants sont-ils toujours à la hauteur ?

Partir en vacances, cela commence d'abord par ouvrir son portefeuille car il y a souvent une dépense qu'on oublie de compter : les préparatifs… Entre les incontournables comme les trajets à payer et les à-côtés comme les casse-croûte sur le chemin, ou encore les indispensables à glisser dans la valise comme l'anti-moustique, tous ces frais de début de vacances finissent pourtant par peser lourd dans la balance. Et nous n'avons pas fini de craquer : même nos gares se transforment en centres commerciaux géants pour des achats de dernière minute.

Le soleil, la mer, la plage… Le trio magique pour la plupart des vacanciers. Mais ce plaisir si recherché se paie à un prix de plus en plus fort. Loisirs, maillots de bain et équipements ou même tout simplement bronzette : sur la plage (ou autour), ce que l'on ouvre en premier c'est souvent le portefeuille ! Et à toutes les dépenses classiques d'un séjour balnéaire, sont venues s'en rajouter de nouvelles : pour poser sa serviette sur un coin de plage... péage ! Pour bronzer au soleil : nouvel équipement de sécurité ! Pour voir la mer et ses créatures fantastiques : direction l'aquarium ! Nouveaux produits ou nouvelles activités, comment leurs inventeurs mettent-ils le paquet pour vous faire craquer cet été ? Capital est allé ratisser de long en large ces business de la plage.

L'été c'est - aussi - la saison des petits plaisirs gastronomiques ! On aime profiter des repas, varier les menus, découvrir de nouvelles saveurs. Et sur les tables, chaque année, de grands classiques et des nouveautés. Alors, quels sont les produits phares de nos repas estivaux ? Nous vous emmènerons pêcher la sardine… à l'huile ! Longtemps dégustée par dépit, vous verrez comment ce poisson populaire s'est fait une place sur la carte des restaurants les plus branchés. Et l'incontournable poulet rôti, pourquoi séduit-il toujours autant ? Et comment fait-il la fortune des rôtisseurs ambulants ? Le tout arrosé d'une boisson complètement secouée : l'Orangina. La petite bouteille aux courbes arrondies n'aura plus de secret pour vous.

Avec près de 30 millions de touristes par an, Paris s'impose comme l'une des villes les plus visitées au monde. Et l'été, la capitale ne désemplit pas. Restaurateurs, hôteliers mais aussi guides en tout genre : nombreux sont ceux qui du coup cherchent à profiter de la manne touristique. Balades le long de la Seine, loisirs insolites ou formules originales de brasseries : de nouvelles idées renouvellent des circuits balisés. Les pièges à touristes eux aussi ont évolué. Entre bons plans, combines et arnaques, comment s'y repérer pour passer un séjour de rêve cet été à Paris ? Capital vous livre les secrets de la… capitale !

Partir en vacances, plus de la moitié des Français comptent bien le faire cet été. Mais que ce soit pour s'acheter un toit au soleil ou juste voyager, une telle évasion relève du luxe aujourd'hui… Sauf si on sait se frayer un chemin dans la jungle des offres. En furetant bien sur Internet, ou en choisissant certaines destination, on peut dénicher des prix incroyablement bas : des maisons et appartements sacrifiés à un quart de leur valeur ; des vols ou séjours à prix cassés. À l'opposé de cette grande braderie, le Club Med, pourtant l'inventeur des clubs de vacances populaires, a fait le pari risqué de virer vers le haut de gamme. Capital est parti enquêter sur ces nouveaux plans, pour tous ceux qui cherchent le soleil à tout prix… et à tous les prix !

Que l'on parte en vacances ou pas, peu importe : l'été, on a plus envie de se changer les idées, de décompresser... Bref, de faire la fête ! Et les occasions ne manquent pas. En mode gratuit ? Chaque soir, des feux d'artifice éclatent au-dessus de nos têtes dans les villages, mais aussi pour des soirées privées. Plutôt fête pour une poignée d'euros ? Au bar ou en boîte de nuit, partout la même commande : un mojito ! Un vrai tour de force : ce cocktail s'est imposé en quelques années comme le préféré des Français ! Option fiesta tout l'été ? Oubliez Ibiza ou Saint-Tropez, cap sur la Croatie, le nouveau paradis des fêtards, poches pleines ou peu garnies.. Capital est parti enquêter à chaud sur ceux qui veulent nous faire passer un été… caliente !

Des paysages enchanteurs, des coins de paradis préservés, des ambiances pittoresques : ce pays de cocagne rêvé, nul besoin de passeport pour s'y rendre en vacances : c'est la France ! Notre territoire regorge de tant de décors de carte postale, certains bien cachés, d'autres envahis par les touristes… Comment dénicher les vraies perles, c'est justement ce qu'une flopée de labels prétend vous offrir, chacun rivalisant pour décerner le titre de plus beau ou plus fleuri des villages. Mais que valent ces labels, et sur quels critères font-ils leurs choix ? Après celui des villages, un autre tour de France peut vous tenter, le plus connu : celui des routes et cols parcourus par les coureurs cyclistes. C'est tout un circuit sur la trace des champions qui prospère. Qui tente de vous faire relever ce défi ? En tout cas, Capital s'y est attaqué pour vous faire découvrir les coulisses et les retombées de ces étapes originales au cœur de la France.

Assez des vacances classiques, envie d'évasion à l'approche de la rentrée ? De plus en plus de Français osent sortir des sentiers battus pour tenter l'aventure… Au bout du monde mais tout aussi bien au coin de la rue ! Un phénomène aujourd'hui rendu possible par des organisateurs de circuits ou des inventeurs de joujous hi-tech qui mettent les sensations fortes à la portée de chacun d'entre nous. Au Népal, tutoyer les cimes de l'Himalaya est rendu accessible à des marcheurs à peine entraînés. En Colombie, frissonner sur les traces du légendaire parrain de la drogue, Pablo Escobar, devient même une attraction pour touristes. Et partout, chez vous ou à la moindre occasion, vous pouvez aussi transformer votre vie en une aventure à grand spectacle... grâce à une petite caméra au succès planétaire ! Ils mettent de l'adrénaline dans vos vacances : Capital est allé percer les secrets de ces vendeurs d'émotions extrêmes.

En cette période de rentrée, nous sommes nombreux à chasser les meilleurs prix pour habiller les enfants ou tout simplement remplir le frigo. Et dans les grandes surfaces on ne s'étonne plus de trouver une robe pour fillette à 10 euros ou un plat cuisiné pour toute la famille à 3 euros. Mais sait-on toujours ce qui se cache derrière ces produits très bon marché ? De quelle manière sont-ils fabriqués ? Capital a mené l'enquête avec des révélations fortes à la clé.

La France figure parmi les championnes d'Europe de la natalité. Pourtant, dans un contexte de crise, avoir un enfant est loin d'être sans conséquence sur le budget d'un ménage. «Garde d'enfants : galères et grosses dépenses». Trouver un mode de garde pour sa progéniture relève souvent du parcours du combattant • «Logement étudiant : trop rare, trop cher». Pour trouver un studio, les étudiants et leurs parents, qui assument souvent les frais, doivent s'armer de patience et se serrer la ceinture • «Alimentation : la guerre du quatre heures». Comment les marques de petits gâteaux font-elles pour séduire les écoliers à l'heure du goûter ? Les journalistes de l'émission révèlent notamment les secrets de fabrication des biscuits Prince.

Alors que le monde évolue à grande vitesse, on dit souvent de la France qu'elle est très difficile à réformer. Dès qu'on touche aux intérêts d'une profession, d'une catégorie de fonctionnaires ou encore aux intérêts économiques d'une filière, les pouvoirs publics s'exposent à une levée de boucliers, voire à des manifestations. Comment fonctionnent ces professions, comme les enseignants ou les taxis, que beaucoup imaginent privilégiées et qui semblent rétives à toute réforme ? Pourquoi le gouvernement est parfois incapable de trancher entre des intérêts qui s'opposent, comme pour l'ouverture des magasins le dimanche ? Et qui sont ces spécialistes de l'influence qui défendent en haut lieu les intérêts d'un secteur ou d'un métier ?

C'est un domaine dont on rechigne à parler et qui pourtant brasse des milliards. Il y a chaque année en France 540 000 personnes qui passent de vie à trépas. Au-delà du drame que représente pour les familles chacun de ces décès, c'est à chaque fois le point de départ d'une histoire d'argent. À commencer par les obsèques, qui coûtent en moyenne 4 000 euros. Un secteur qui profite parfois de l'émotion et du trouble des proches pour gonfler la facture. Un peu plus tard, les héritages sont souvent l'objet de bagarres sans fin dans les familles. À l'occasion de la Toussaint, Capital a enquêté sur ce secteur tabou.

Rarement les Français ont été aussi réticents à payer leurs impôts. Selon un sondage récent, 72% les jugent excessifs. Il faut dire qu'avec la crise et l'endettement de l'État, les impôts et cotisations sociales n'ont cessé d'augmenter ces dernières années pour atteindre un niveau record. Résultat, la moitié des foyers a vu ses impôts progresser cette années de 200 euros en moyenne. Alors il y a ceux qui payent, même si c'est difficile, et ceux qui arrivent à dissimuler leurs revenus. La fraude fiscale aurait atteint 80 milliards d'euros l'année dernière. Capital a enquêté sur ce grand jeu de cache-cache avec le fisc, depuis le petit commerçant qui peut jouer sur l'argent liquide jusqu'aux plus riches qui s'échappent dans de nouveaux paradis fiscaux.

Même si la concurrence est toujours aussi rude avec les grandes surfaces, les petits commerçants continuent d'occuper une place de choix dans les courses que nous faisons au quotidien. Par leur proximité, ils entretiennent une relation privilégiée avec leurs clients. Pour les commerces de bouche qui se positionnent souvent sur un certain niveau de qualité, et donc de prix, il s'agit bien souvent d'entreprises très rentables. Pour faire un maximum de profits, les petits commerçants ont leurs secrets de fabrication et des techniques commerciales bien au point. Capital a enquêté sur les méthodes de ces petites entreprises, souvent très performantes, que nous fréquentons tous les jours.

Crise oblige, le budget cadeaux des Français pour Noël est à la baisse : -2,7% à 302 euros. Alors comment s'y prendre pour faire plaisir sans trop dépenser ? Depuis quelque temps des entrepreneurs mais aussi des commerçants ont compris tout l'intérêt qu'il y avait à proposer du luxe à petit prix. Certains bradent des vêtements haut de gamme que les marques veulent déstocker, d'autres appâtent avec des bijoux bon marché qui semblent très précieux mais il y aussi des possibilités nouvelles de se payer des produits de grand luxe à crédit. Capital a enquêté sur les bons plans mais aussi les pièges de ce luxe devenu accessible au plus grand nombre.