Le bonheur durable ne peut s' établir sur un truquage !. C' est ce que conclut Jean Louis, amant d' Hélène, laquelle a quitté son mari pour le suivre. Mais, c' est en voyant vivre Gérard, son ami fraternel, qu' il en est arrivé à cette constatation. Adé, femme enfant, insouciante et turbulente, avait quitté son mari Gérard pour suivre Achille, son amant ; mais elle est revenue vers Gérard qui lui accorde volontiers son pardon et qui est prêt à croire tout ce qu' elle voudra bien dire. Elle pourra, même, mentir encore.... Jean Louis commence à douter du bonheur en général et, en observateur lucide, de son propre bonheur.

Entre une femme libre, qui n' a d' attache qu' un fils qu' elle a eu d' une liaison passagère, et son métier et un inconnu, rencontré au hasard d' une soirée et qui a fait assaut de son charme, s' organise une comédie de l' illusion et du mensonge... A moins qu' il ne s' agisse de vérité, une vérité qui n' est jamais tout à fait assurée.

Robert attend Solange Fréssinet et met la dernière main au dîner intime qu’ il prépare pour la séduire. Dès que Solange est là, il commence son numéro de charme, et tout se déroule comme prévu..... jusqu’ à l’ arrivée, inopinément, d’ un ancien camarade de fac : Eugène. Eugène prend Solange pour l’ épouse de Robert qui, pris au dépourvu, n’ ose pas lui avouer qu’ il s’ agit de la femme de Fréssinet. Or, c’ est Fréssinet, lui même, qui a suggéré à Eugène d’ aller faire une surprise à Robert.... et les catastrophes vont se succéder !

Suzanne Pujol, femme rêveuse mais néanmoins héritière d'une usine de parapluies, est l'épouse de Robert, un homme au caractère ombrageux, qui dirige l'usine. Une grève surprise oblige Robert, désavoué par le personnel, à céder sa place de dirigeant à Suzanne…