L'air de rien, une petite révolution est en marche depuis quelques années dans le domaine de la consommation. Pour équiper leur maison, pour s'habiller, de plus en plus de Français se détournent des magasins et préfèrent acheter d'occasion. Ils sont nombreux aussi à partager leurs biens, appartement ou automobile, pour faire rentrer de l'argent dans leur budget familial. Tout cela a pris beaucoup d'ampleur grâce à Internet qui permet de démultiplier les contacts entre particuliers. Évidemment, cette nouvelle manière de consommer permet de faire des économies parfois phénoménales. Capital a enquêté sur cette révolution qui peut donner un gros coup de pouce à votre pouvoir d'achat.

Dans un pays tellement attaché à sa gastronomie, c'est une domination que l'on ne soupçonne pas toujours. Avec 34 milliards d'euros en 2012, la restauration rapide réalise en France un chiffre d'affaires plus important que la restauration traditionnelle avec service à table. En 10 ans, avec l'effet conjugué de la baisse du pouvoir d'achat des Français mais aussi avec une offensive commerciale très habile des grandes enseignes, ce secteur qui incarnait la « malbouffe » a connu un boom phénoménal. En enquêtant sur deux de ses « produits star », la pizza mais surtout le hamburger, ainsi que sur les grandes chaînes de restaurants qui les proposent, Capital vous révèle les secrets du fast-food devenu si familier des Français.

60 milliards d'euros d'économie sur les dépenses publiques en quatre ans ! C'est l'annonce fracassante faite récemment par François Hollande. Mais l'État est-il capable de se serrer à ce point la ceinture ? Que ce soit pour les grandes administrations, l'hôpital, les mairies ou les régions, la tendance générale ces dernières années est plutôt de dépenser toujours plus. Et du coup la pression fiscale est devenue maximale. Capital a enquêté sur ce qui coûte cher au contribuable : les 5 millions de fonctionnaires au statut protégé, certains services de l'État dépensiers et pourtant peu productifs ou bien encore les réalisations très coûteuses de certains élus.

Jusqu'où ira le low cost ? Aujourd'hui, il semble qu'aucun secteur de la consommation ne soit épargné par cette tendance qui vise à toujours écraser davantage les prix. Évidemment, cette offre de produits bon marché est la bienvenue alors que notre pouvoir d'achat ne cesse de baisser. Mais comment s'y prennent les industriels pour produire moins cher ? Quels sont les nouveaux pays transformés en usines à bas prix ? Et surtout faites-vous toujours une bonne affaire en achetant ces nouveaux produits à petit prix ? Du high tech à l'habillement en passant par l'alimentation, Capital vous révèle les secrets de quelques-uns de ces nouveaux produits low cost.

C'est une réalité à laquelle on a du mal à croire mais, dans le monde, le nombre de riches augmente à grande vitesse. Il y a aujourd'hui près de 13 millions de millionnaires sur la planète, 50% de plus qu'il y a 5 ans. Alors, quand ces nouveaux riches arrivent chez nous et se payent parfois à coups de milliards des joyaux de notre économie ou de notre patrimoine, certains s'inquiètent. Qui sont ces fortunes récentes et d'où vient leur argent ? Et, quand ils investissent en France, est-ce une chance ou une menace pour notre pays ?

C'est aujourd'hui l'une des viandes préférée des Français pour une raison simple : c'est la moins chère. Même si on trouve sur les étals des bouchers ou des grandes surfaces des poulets label Rouge ou bio, vendus en moyenne autour de 7 euros le kilo ; l'immense majorité de ces volailles que l'on consomme en France étant commercialisée autour de 3 euros le kilo. Pour arriver à ces prix-là, l'élevage du poulet et la transformation qui est faite de la viande, notamment pour les nuggets ou les cordons bleus, ont connu des évolutions très fortes ces dernières années. Nous avons enquêté pendant de longs mois pour révéler les secrets de cette filière peu habituée à ouvrir ses portes. Et comme ce plat populaire est très souvent consommé accompagné de frites, Capital s'est aussi intéressé à cet aliment très bon marché qui a conquis la planète.

C'est une forme de délinquance qui ne cesse d'augmenter ces dernières années et qui finit par coûter cher aux Français. Les cambriolages ont progressé de 45% ces cinq dernières années : sur l'ensemble du pays, il y en a un toutes les 90 secondes. Et l'on ne peut pas se reposer sur la police ou la gendarmerie. Les forces de l'ordre n'arrivent à élucider qu'un cambriolage sur dix. Résultat, cette menace sur les domiciles de chacun d'entre nous ne laisse pas indifférentes toutes les sociétés qui proposent des solutions pour vous protéger. Capital a enquêté sur ce secteur florissant où les bonnes solutions côtoient les pièges et les arnaques.

Bien sûr en ces temps de crise, le modèle social français, l'un des plus généreux au monde, est un bon filet de sécurité pour les plus fragiles. Mais alors que les finances de l'État sont en berne, peut-on encore se permettre de dépenser chaque année 600 milliards d'euros dans les régimes sociaux ? L'assurance-maladie, l'Unedic, les caisses d'allocations familiales et les régimes de retraites ne sont-ils pas parfois trop généreux ? Une générosité qui peut s'accompagner d'abus et de gaspillages. Capital a mené l'enquête.

C'est un paradoxe : alors que notre pouvoir d'achat et notre consommation baissent depuis plusieurs années, les ouvertures de centres commerciaux, toujours plus imposants, se multiplient. Nous en avons 750 en France et 50 sont en construction : un record en Europe ! Même si beaucoup de Français, de plus en plus en nombreux à vivre en périphérie des villes, apprécient d'y faire leurs courses et même de s'y divertir, comment expliquer une telle expansion ? Quelles sont les méthodes de ces machines de guerre du commerce pour vous attirer ? Et, face à eux, comment les petits commerces de centre-ville s'y prennent-ils pour survivre ?

C'est un argument de vente de plus en plus présent dans les rayons : en consommant tel jus de fruit, particulièrement riche en vitamines, ou tel plat cuisiné, qui aura été allégé, vous améliorez votre tonus ou affinez votre ligne. Et dans ce domaine très porteur, l'innovation semble sans limite. Capital a enquêté sur la manière dont sont fabriqués ces produits que l'on peut trouver à petits prix et sur ces entreprises, parfois des multinationales, qui ont su prospérer sur ce marché de la santé et de la forme.

Avec le climat économique morose qui perdure, les Français seront un peu moins nombreux à partir en vacances cet été. Environ un sur deux aura la chance de quitter son domicile et le budget moyen sera de 1 300 euros par famille. Mais aujourd'hui, pour les vacances, il existe de nombreux moyens de se faire plaisir sans se ruiner. Pour l'hébergement, les transports et même la nourriture, on peut trouver des formules économiques. Elles font la fortune d'entrepreneurs qui ont su innover mais pour en profiter au mieux, encore faut-il savoir en déjouer les pièges. Capital a mené l'enquête.

Comme chaque été, les professionnels du tourisme attendent de pied ferme les Français qui ont la chance de partir en vacances. Et les plus gros enjeux financiers se jouent dans le domaine de l'hébergement, que ce soit dans l'hôtellerie ou les campings. Dans ce secteur, la formule club, sur laquelle Capital a décidé d'enquêter, séduit de plus en plus. L'autre gros phénomène concerne le rôle majeur et controversé que joue aujourd'hui le site incontournable de réservation d'hôtels Booking.com. La bataille fera rage également entre les destinations mer, montagne et campagne. Avec parfois des villages qui tirent brillamment leur épingle du jeu

Enfin les grandes vacances et la route du soleil… Mais pour bien réussir ses vacances, il faut d'abord bien choisir son itinéraire, autoroutes ou itinéraires bis. Peut-être une occasion de donner à son trajet un premier parfum d'été. C'est aussi consulter des guides de voyage pour trouver de nouvelles idées et des bons plans. C'est enfin obtenir les prévisions météo les plus fiables pour adapter au mieux ses vacances aux conditions climatiques. Et bien sûr tout ça sans oublier son anti-moustique !

Le soleil, la mer, la plage, la détente, le plaisir… Même en temps de crise, pas question de s'en passer. Et cet été, les Françaises se sont surpassées pour préparer au mieux leurs vacances. Achat de nouveaux bikinis, de parfums et de déodorants tendance, rendez-vous dans les salons de beauté… Avec, pour certaines, l'amour à portée de main. Cet été, c'est sûr, l'été sera très chaud !

S'offrir de belles vacances d'été, tout le monde en rêve… mais à quel prix ? Voyage, hébergement, activités : la facture grimpe très vite. Heureusement, il existe désormais de bons plans pour alléger son budget sans renoncer à ses projets. Voyager en bus tout confort, dormir dans une auberge de jeunesse « new-look » ou s'installer à la ferme, voilà de quoi s'assurer des vacances réussies à prix cassés. Et pour ceux qui adorent la Méditerranée, mais sans la foule ni les prestations hors de prix, que diriez-vous de l'Albanie ?

En été, l'apéro, c'est sacré ! Après les chaleurs de la journée, rien ne vaut ce moment de convivialité que l'on partage en famille ou entre amis. Pour vous offrir le meilleur des apéros, Capital vous emmène cette semaine dans les coulisses du Prosecco, ce vin pétillant italien fruité qui concurrence sérieusement notre champagne. Vous découvrirez aussi l'incroyable histoire de la pistache, une petite noix aux vertus insoupçonnées qui est au cœur d'une guerre commerciale sans pitié entre l'Iran et les États-Unis. Vous connaîtrez enfin les secrets de fabrication du vrai bon saucisson et vous n'aurez désormais plus qu'une envie : finir votre apéro du jour pour préparer celui du lendemain.

Vous cherchez de nouvelles idées pour vos vacances, vous voulez vous offrir un séjour inoubliable dans un lieu de prestige, vous cherchez une destination à l'étranger pleine de charme à prix attractifs, alors cette émission inédite de Capital est faite pour vous. Loin des plages bondées, rivières, lacs et canaux vous tendent leurs bras pour des vacances différentes dans des décors de rêve. Et si vous décidiez plutôt de goûter au confort des Relais-Châteaux ? Ou découvrir pourquoi Lisbonne, la belle portugaise, est devenue la capitale tendance de l'été ? Enfin pour ceux qui aiment les calanques, on leur a réservé les premières loges !

L'été, pour la plupart des professionnels du tourisme, c'est le moment ou jamais. Deux mois durant lesquels ils jouent leur saison. Cette saison, pour attirer les vacanciers, toujours plus exigeants, les parcs d'attraction ont misé gros (nouveaux manèges, activités spectaculaires, tarifs alléchants), les marques régionales et les produits du terroir ont exploité à fond la qualité « made in local » et les industriels du jus de fruit ont inondé le marché d'une nouvelle eau à sensations (l'eau de coco). Mais dans tous ces secteurs, la concurrence fait rage. Alors pour gagner le jackpot de l'été, tous les moyens sont bons.

Cet été, c'est le grand retour des saveurs. Glaces industrielles, sorbets chimiques, fruits insipides, fleurs sans odeurs : de plus en plus de consommateurs en ont assez ! Ils veulent retrouver les goûts et les parfums 100% naturels de leur enfance. Résultat, sous l'impulsion d'artisans passionnés et de chevaliers du goût, les glaces artisanales et de luxe rattrapent les glaces industrielles, les fruits juteux et délicieux retrouvent des couleurs, notre lavande fait tout pour conserver les siennes et l'Orangina (avec sa célèbre pulpe) reste l'une des boissons préférées des Français.

Loin des côtes et des plages, les stations de sports d'hiver sont devenues depuis plusieurs années aussi attractives sous le soleil d'été que sous la neige. Comment ont-elles effectué cette très étonnante transformation ? Et quelles nouvelles formules proposent-elles pour attirer les familles ? Pour les adeptes des vacances sous la tente, loin des campings surchargés, vous allez découvrir comment les fabricants ont multiplié les innovations pour vous séduire, en créant notamment des modèles à planter (absolument) partout. Le Grand Nord s'ouvre aussi aux vacanciers à la recherche de nouvelles sensations. Aujourd'hui, le business du tourisme polaire explose, et plus besoin d'être explorateur ou aventurier pour en profiter au meilleur prix et vivre des moments inoubliables. Capital vous propose cette semaine une enquête inédite sur le nouveau business des vacances différentes et à sensations fortes.

Les classes moyennes sont-elles les grandes perdantes aujourd'hui en France ? Cette large majorité de la population, ni riche ni pauvre, considère qu'elle est désavantagée en permanence. D'une part, ces familles dont les revenus oscillent entre un peu moins de 3 000 et 5 500 euros par mois, voient comme une injustice de ne pas bénéficier des aides sociales. Comme les plus pauvres, elles considèrent qu'elles ont de plus en plus de mal à boucler leur budget en cette période de crise. D'autre part, elles jugent qu'elles font office de « vache à lait » sur laquelle la pression fiscale ne cesse d'augmenter. Au final, ces « forces vives » du pays ont le sentiment de s'appauvrir et ne plus avoir les moyens de progresser dans la société comme c'était le cas pendant des dizaines d'années. Capital a mené l'enquête pour démêler le vrai du faux sur ce grand malaise des classes moyennes.

C'est un avantage dont on n'a pas toujours conscience en cette époque de crise. Mais, dans de grands secteurs de la consommation tels que l'alimentation ou l'habillement, les prix baissent. Derrière cette tendance, il y a de grandes enseignes ou des entrepreneurs. Pour se faire une place ou consolider leurs positions, ils se livrent pour vous séduire à une impitoyable guerre des prix. Une bataille sur le montant de l'étiquette qui se double souvent d'innovations marketing qui renouvellent le commerce. Dans l'alimentation, le prêt-à-porter, l'optique et même l'énergie, Capital a mené l'enquête.

C'est une forme d'inégalité que connaissent tous les salariés de France. À expérience égale ou fonction égale, nous n'avons pas toujours les mêmes contrats de travail, les mêmes avantages et les mêmes rémunérations. Des inégalités qui dépassent largement l'écart que l'on constate toujours entre les hommes et les femmes. Que l'on travaille pour une grande ou une petite entreprise, que l'on ait été embauché à une période faste ou plus difficile, que l'on soit jeune ou bien senior, les différences sont criantes. Capital a mené l'enquête.

C'est une passion française : aménager et décorer au mieux sa maison quels que soient ses moyens. Mais c'est aussi un énorme marché de près de 9 milliards d'euros que se disputent les fabricants et les grandes surfaces. À l'approche de l'hiver, une saison où l'on passe encore plus de temps chez soi, Capital a enquêté sur ces géants de la déco chez qui vous vous équipez, sur les produits phares du moment et sur certains artisans auxquels vous faites appel pour vos travaux de rénovation.

Alors qu'en France, on a le sentiment d'être éternellement englué dans la crise avec une croissance atone et une compétitivité en berne, il y a pourtant motifs à se réjouir. Des secteurs entiers de notre économie, des marques fortes ou tout simplement des personnalités ont su émerger de cette morosité. Quels enseignements peut-on tirer de ces réussites ? Capital a mené l'enquête.

Ce sont toutes ces dépenses auxquelles on ne peut pas couper : prendre l'autoroute chaque jour pour se rendre à son travail, faire appel à un notaire quand on achète sa maison ou prendre soin de la dentition de son enfant par la pose d'un appareil dentaire. Souvent ces dépenses sont perçues comme particulièrement élevées. Elles dépendent de professions réglementées, de monopoles ou de secteurs dont les tarifs ne sont pas très lisibles. Pour savoir s'il y a véritablement des abus, Capital a mené l'enquête.

C'est un phénomène de consommation qui s'est installé. Depuis les scandales alimentaires de ces dernières années et notamment l'affaire des « lasagnes à la viande de cheval », de plus en plus de Français ont changé leur comportement. Ils préfèrent acheter un peu moins mais privilégient des produits alimentaires de qualité. En face, les industriels mais aussi les commerçants l'ont bien compris. Capital a mené l'enquête.

Pour les industriels, les grandes surfaces et tous les commerçants, c'est le moment de l'année où il faut répondre présent ! Dans les semaines qui précèdent Noël, la consommation bat son plein même si cette année, crise oblige, les Français vont consacrer un peu moins d'argent à cette fête. Chaque ménage va dépenser en moyenne 518 euros soit 4,5% de moins que l'année dernière. Pour les fabricants de jouets, les géants de l'agro-alimentaire, les hypermarchés et centres commerciaux, il faut tout mettre en œuvre pour vous séduire et vous faire dépenser.

Quelques jours avant Noël, Capital vous invite dans la capitale mondiale du spectacle et du divertissement : Las Vegas. Située en plein désert, c'est la ville de la démesure, de l'extravagance, du clinquant, qui attire chaque année 40 millions de touristes. Ici, tout est plus grand et plus fou qu'ailleurs : les hôtels, les casinos, les shows, les restaurants, le shopping et les success stories. Comment Las Vegas est-elle devenue un tiroir-caisse géant ? Comment les shows à grand spectacle ont-ils pris le dessus sur les machines à sous ? Comment fonctionne, en coulisses, le plus grand hôtel du monde (The Venetian, 7 000 chambres) ? Et comment, dans ce milieu ultra concurrentiel, certains Français ont-ils réussi à s'imposer ? Une enquête inédite et une immersion totale au cœur d'une ville unique au monde.