Ce premier numéro est consacré aux nouveaux gourous, ces maîtres à penser qui promettent le bonheur sous certaines conditions... Et parmi ces "nouveaux gourous", le journaliste va s'intéresser notamment à ceux qui administrent l'ayahuasca, une drogue hallucinogène interdite en France mais vendue à l'étranger. Provoquant transes, visions et purges, celle-ci est portée par un homme qui tente de l'implanter en Europe. Ensuite, Martin Weill évoquera les nouveaux machos et ces cours de "masculinité" proposés, un an après #MeToo et #BalanceTonPorc. Enfin, ce premier prime de la collection suivra... Jésus, revenu à Brasilia où il vit entouré de ses disciples.

De Miami à la Corée du Sud, en passant par le Royaume-Uni et le Canada, le reporter mène une enquête sur le corps «parfait». Aux Etats-Unis, rencontre avec un chirurgien esthétique qui répond aux demandes de patientes voulant ressembler à leur idole. Il diffuse ensuite ses opérations en direct. En Corée du Sud, Martin Weill découvre que des parents offrent souvent une rhinoplastie à leurs enfants. Au programme également : un road-trip chez les transhumanistes qui rêvent de fabriquer le corps du futur.

Martin Weill vous emmène à la conquête de Las Vegas, la ville de la démesure, de l’exubérance et du vice. Sin City est un peu notre dark side à nous, avec nos délires, nos obsessions et nos fantasmes. Si vous pensez tout connaître de Las Vegas, vous allez être surpris. Les casinos ne font plus autant recette, alors Vegas doit se réinventer pour attirer les dollars et les stars. Et vous allez voir, la ville de tous les excès n’est jamais à court d’imagination ! The show must go on. Ce qui se passe à Vegas, reste à Vegas !

Martin Weill vous emmène sur les nouvelles routes de la cocaïne. De la Colombie à Paris en passant par la Guyane, la Bretagne ou la Charente. La cocaïne est partout. Plus accessible, plus abordable, de plus en plus de monde en achète. Aujourd'hui, la cocaïne n’est plus réservée à une clientèle aisée. En France, les artisans et les ouvriers en consomment plus que les cadres. Une consommation banalisée et « ubérisée », les dealers livrent à domicile grâce aux applis.