Ils sont agent immobilier, coiffeur, ingénieur, retraité ou encore chef d'entreprise. Ils ont entre 24 et 71 ans... 13 hommes ordinaires, qui ne se connaissent pas, dépourvus de toute
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Ils sont agent immobilier, coiffeur, ingénieur, retraité ou encore chef d'entreprise. Ils ont entre 24 et 71 ans... 13 hommes ordinaires, qui ne se connaissent pas, dépourvus de toute notion de survie, se sont inscrits pour participer à une expérience inédite : tenter de survivre pendant 1 mois sur une île perdue au milieu du Pacifique, à 8 000 km de la France. Ils seront seuls au monde.
Pendant 28 jours, ils essaieront de survivre par leurs propres moyens et avec ce que l'île leur offre. Leur seule récompense : le dépassement de soi ! Pour seuls vêtements pendant ce mois d'isolement, ceux qu'ils portent à leur arrivée, et un équipement de survie réduit au minimum : 3 couteaux, 3 machettes… et une trousse de premiers secours. Pour témoigner de cette expérience, ils seront totalement seuls, il n'y aura personne d'autre qu'eux pour se filmer.
Les 13 hommes sont arrivés sur l'île depuis 5 jours. Déracinés de leur quotidien confortable français, et passée l'euphorie des premières heures, ils ont pris conscience de la dure réalité de la survie sur une île déserte. Avant toutes choses, ils ont dû trouver un lieu sain et sécurisé pour poser leur camp, puis leur salut est passé par le feu, indispensable pour se chauffer, se protéger et se nourrir.
Après 5 jours passés sur l'île, la situation est critique :
- plus d'eau potable : ils doivent trouver des poches d'eau naturelle dans la jungle, la faire bouillir et accepter le goût de terre et de feuilles qui donnent à cette eau un goût infect.
- habitués à manger 3 repas par jour en France, les participants n'ont mangé qu'un maigre repas par personne sur l'ensemble de la 1ère semaine. Pour survivre, ils vont devoir compter plus que jamais sur la pêche et se mettre à la chasse… aux serpents !
- dormant en moyenne 7h/jour en France, ils ne peuvent sur l'île dormir que par intermittence, à peine 4-5h/nuit, sur un sol dur et balayé par un vent glacial, mangés par les