101 Unité aérienne

L'unité aérienne de la police fédérale basée à Melsbroek est un service d'appui aérien. Sa mission consiste à récolter et transmettre des informations aux équipes sur le terrain qui leur permettent de gagner du temps. Grâce à cinq hélicoptères, des pilotes expérimentés, des spécialistes de la reconnaissance aérienne et des techniciens, cette unité peut venir en aide aux services de police de jour comme de nuit. Au total, ce sont une quarantaine de personnes bilingues qui composent l'unité. Chaque appel est une urgence : vol de voiture à Charleroi, braquage d'une banque à Verviers, personne disparue à Liège, incendie à Anvers.

Le service d'appui aérien de la police fédérale est basé à Melsbroek. Les hommes de cette unité apprennent que l'un des leurs, Philippe, ne pourra plus exercer ce métier pour des raisons de santé. Un remplaçant potentiel, Frédéric, effectue son baptême du feu, à l'occasion d'une mission d'observation à Liège lors d'un match de football opposant le Standard à Anderlecht. Philippe et Didier aident la police au sol à arrêter un trafiquant de drogue après une course folle. D'autres collègues repèrent un suspect le long d'une voie ferrée. A Namur, une mission de nuit doit retrouver un véhicule qui a forcé un barrage et renversé deux agents de police.

Au sein du service d'appui aérien de la police fédérale basé à Melsbroek, Philippe attend sa mutation vers la cellule des personnes disparues. Pour le moment, il doit rester à la base, alors que tous ses collègues partent en mission. Ils commencent par prendre la direction de Malines, où trois hommes ont commis un hold-up dans un bureau de poste, avant de prendre la fuite dans la ville. A Termonde, les hommes du service tentent de localiser un prisonnier évadé qui se cache dans une zone résidentielle, alors qu'à Wavre, un suicidaire menace de sauter du toit d'un immeuble. L'équipage de l'hélicoptère doit assurer la coordination des pompiers et des patrouilles au sol. Plus tard, ce sont les occupants d'une voiture en fuite qui ouvrent le feu sur l'hélicoptère.

Le service d'appui aérien de la police fédérale est basé à Melsbroek. Un de ses membres, Philippe, est sur le point d'accomplir sa dernière mission au sein de l'unité. De son hélicoptère, il doit superviser les équipes qui, au sol, interviennent sur un accident de voitures. On compte de nombreux blessés. D'autres pilotes se sont lancés à la poursuite d'un voleur de moto. Celui-ci tente d'échapper à la police en se dissimulant dans les champs. Mais il aura des difficultés à échapper à ceux qui, du ciel, suivent sa fuite. Par ailleurs, de nouvelles recrues arrivent à la base. Elles sont soumises à des tests et des évaluations difficiles.

L'unité de support aérien de la police fédérale se prépare pour une opération très spéciale : l'opération Orchidée. L'équipe doit faire face à différentes missions : un équipage est engagé dans la poursuite d'un dealer à Charleroi, tandis qu'un autre hélicoptère essaie d'arrêter un motard inconscient du danger, qui roule à près de 130 km/h dans le centre d'Ottignies. Les pilotes et TFO vont pouvoir, par ailleurs, montrer leur capacité à coordonner les services de lutte contre l'incendie lors d'un feu à Châtelet. Un autre départ d'incendie est signalé à Fleurus et il faut intervenir très rapidement pour éviter un drame.

Cinq hélicoptères, des pilotes expérimentés, des spécialistes de la reconnaissance aérienne et des techniciens, l'Unité aérienne basée à Melsbroek est sur le pied de guerre jour et nuit pour venir en aide aux services de police du pays. Au total, elle rassemble une quarantaine de personnes bilingues, capables de répondre à toutes sortes de situations d'urgence requérant leurs compétences particulières. Dans ce dernier épisode, l'Unité participe à un exercice des Forces d'interventions spéciales de la Police fédérale. L'équipage d'un navire est pris en otage et les agents doivent le libérer. L'exercice doit être répété plusieurs fois dans les moindres détails afin que l'escadron soit tout à fait prêt en cas de crise réelle.