Les attentats individuels conduisent à de terribles représailles : des otages, comme Guy Môquet, sont fusillés, provoquant l’effroi parmi la population. Au printemps 1942, l’ensemble des groupes armés communistes sont regroupés au sein des FTP (Francs-tireurs et partisans), dont la branche FTP-MOI (Main-d’œuvre immigrée) se spécialise dans la guérilla urbaine.