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A la recherche d’un sujet choc pour TV2F, Thomas est contacté par un diplomate africain qui lui révèle un trafic d’armes avec son pays, organisé par un Français, Paul Guérin. Le même jour, un homme mystérieux du nom de Kaplan lui apprend que Guérin a travaillé pour le gouvernement… Pour 24 Heures dans le monde, Florence a décroché un scoop : le président de la République change de Premier ministre, et les candidats piaffent dans les coulisses… Mais à 3 000 km de là, un évènement imprévu vient modifier le cours de leurs enquêtes…

En Bulgarie, Thomas rencontre un ancien associé de Guérin. Au détour d'une phrase, celui-ci propose de lui vendre une tête nucléaire pour quelques milliers de dollars... Sophie Kosinski, la secrétaire générale nommée par le nouveau propriétaire, entend rétablir l'équilibre financier de 24 Heures. La rédaction du journal commence à s'inquiéter. Elsa réalise sa première interview, celle d'une jeune fille livrant un témoignage poignant sur sa vie en banlieue. Mais le frère de la jeune fille fait pression sur Elsa pour qu'elle ne diffuse pas le sujet, programmé au 20 heures le soir même...

De retour à Sofia pour l'achat d'une tête nucléaire, Thomas doit cacher son identité pour ne pas faire échouer la transaction. Florence, chroniqueuse politique, est soupçonnée par la rédaction de jouer le jeu du nouveau propriétaire. Pour son premier direct à TV2F, Elsa annonce un scoop...

Un nouveau fait divers sordide, en Sologne : la famille Marchal est assassinée au fusil de chasse par Alexandre, 14 ans, le fils aîné. Michel est envoyé sur place. Il est bientôt convaincu qu’Alexandre n’est pas le véritable coupable et son enquête croise celle de… Thomas, qui soupçonne Guérin d’avoir des intérêts financiers dans l’entreprise de Pierre Marchal, le père de famille. Michel et Thomas se retrouvent donc sur les lieux, en compagnie de Nadia, l’amie d’Elsa –qui débute une liaison avec Michel. Pendant ce temps, la crise des otages se dénoue. Albert décide d’en juger sur place, à Tbilissi. Mais Florence glane le scoop avant tout le monde : Marie Montheil va être libérée. Elle a obtenu cette information grâce à Christian : Barlier lui a offert l’exclusivité de la nouvelle.

Peu après son retour en France, Marie est interviewée par la DGSE : on l’accuse d’avoir collaboré avec la rébellion vaïnakhe et d’être en partie responsable de la mort de son confrère, Jean-Paul Rostang. Marie se confie à Thomas. C’est effectivement Rouslan, son indicateur et amant vaïnakhe, qui a causé sa chute. Thomas poursuit son enquête sur Guérin et prouve que l’industriel était mêlé aux affaires de Sport Promotion, et que Pierre Marchal a effectivement servi de porteur de valise pour son compte. Contre toute attente, Elsa, tombée en disgrâce depuis l’affaire de l’interview de la jeune Maghrébine, est choisie pour présenter le Journal de la nuit. Discrimination positive ? Elsa, métisse, s’interroge sur les motivations de sa soudaine nomination…

Alors que Marie arrive chez elle, un homme force sa porte : c’est Rouslan, son indicateur vaïnakhe. Traqué, il explique à Marie qu’il a été victime d’un chantage politique pour capturer les deux Français. Aujourd’hui, sa seule chance de survie est d’obtenir une autorisation de séjour sur le territoire français. Thomas s’engage auprès de lui, et après avoir essuyé un refus de la préfecture, diffuse un sujet sur Rouslan au 20 heures. L’opinion publique s’en émeut et Barlier finit par intervenir en sa faveur. Pour Michel, les répercussions de l’affaire des incinérateurs sont plus graves qu’il ne le pensait : la juge Columba perquisitionne ”24 Heures”. Elle demande à Michel de lui livrer ses sources ; il refuse car son indicateur n’est autre que le greffier de la juge. Mais en réalité, Michel s’est fait doubler : le greffier lui a livré des informations dans l’unique but de court-circuiter l’instruction…

Thomas utilise les derniers renseignements fournis par la clé USB pour réaliser un reportage dévoilant les activités de Guérin... et l’accusant implicitement de bénéficier de complicités au plus haut sommet de l’État. Le sujet fait 33 % d’audience mais la direction de TVF reste prudente : Thomas ne devrait plus s’impliquer dans une affaire qui relève maintenant d’une enquête judiciaire. A “24 Heures”, tandis que Michel se réconcilie avec Elsa, Albert est destitué de ses fonctions de rédacteur en chef. Ironie du sort : il n’obtient aucun soutien parmi les journalistes de sa rédaction, persuadés qu’Albert est du côté de De Wilder.