Crime Scene Solvers

Le 11 aout 1987, les gendarmes d'Orléans découvrent, derrière une glissière de sécurité de l'autoroute A10, le cadavre meurtri d'une enfant de 4 ans, enveloppé dans une couverture. Commence alors l'une des enquêtes criminelles les plus longues et éprouvantes de ces quarante dernières années. Qui est celle que tout le monde surnomme "la martyre de l'A10", qui ne sera identifiée que des années plus tard ?

Le 5 février 2000, deux chasseurs découvrent un corps calciné au bord de l'Oise. La région vient de subir une tempête d'une rare violence et la recherche d'éléments matériels s'annonce difficile, tout comme l'identification du corps. Malgré tout, indice après indice, l'enquête des policiers progresse. Joël Deprez, la victime, est tombé dans un piège.

Le 7 septembre 2018, à Strasbourg, Sophie Le Tan s'apprête à fêter ses 20 ans avec sa famille. Mais soudainement et mystérieusement, elle disparaît à la suite d'un rendez-vous pour visiter un appartement proposé à la location par un certain Jean-Marc Reiser. Les indices patiemment récoltés par les enquêteurs les mettent sur la piste d'un tueur en série.

Le 27 février 2015, à Toulouse, les parents de Maureen Jacquier, 19 ans, découvrent leur fille assassinée de plusieurs coups de couteau dans son lit.

Le 8 juillet 2002, près d'Amiens, un agriculteur découvre dans son champ le corps sans vie d'une jeune femme, Patricia Leclercq. C'est le début d'un fait divers qui a fait trembler le nord de la France pendant plusieurs mois : la traque du tueur de la Somme. Car selon les indices accumulés, le meurtrier de l'étudiante a peut-être tué d'autres jeunes femmes dans la région.

Le 12 septembre 2013, Éric Mosser, un chauffagiste de 45 ans, découvre sa femme Isabelle gisant dans une mare de sang à leur domicile d'Illfurth, en Alsace. Sur place, les gendarmes relèvent les traces d'un cambriolage : la victime a certainement été tuée par un intrus qu'elle a surpris en plein forfait. Mais comment interpréter les indices, notamment les huit coups de couteau portés sur la jeune femme, qui font plutôt penser au geste d'un proche ? La vérité, stupéfiante, éclatera à l'issue d'une enquête aux multiples rebondissements.

Le 9 novembre 2011, le corps d'un homme est retrouvé aux abords du cimetière de Courcelles-le-Comte. Seul indice pour les enquêteurs : le chiffre "53", tatoué à l'intérieur du poignet droit de la victime.

Le 20 décembre 2012, à Val d'Izé, Aurélie Barbot, 29 ans, est tuée sur le pas de sa porte d'une balle dans la tête. En exploitant minutieusement chaque indice, les gendarmes de la section de recherches de Rennes parviendront finalement à confondre celui qui a littéralement exécuté sa victime.

Dans la nuit du 16 avril 2013, Anaïs Guillaume, 21 ans, disparaît mystérieusement à Fromy, dans les Ardennes, après avoir passé la soirée dans la ferme de son compagnon. En charge de cette affaire hors du commun, les gendarmes de la section de recherches de Reims vont mettre plusieurs années à résoudre le mystère de cette inquiétante disparition. C’est l’exploitation minutieuse des indices qui va leur permettre de découvrir le passé trouble d’un suspect, voire d’élucider un autre meurtre resté impuni pendant des années. Retour sur cette affaire hors du commun.

Le 30 juin 2014, à Nancy, les policiers sont appelés au domicile de Julie Martin, une infirmière de 34 ans. Sur place, ils découvrent son compagnon blessé et totalement paniqué. Car Julie est introuvable depuis 48 heures : elle n’a plus donné signe de vie depuis une soirée bien arrosée. Où est passée cette jeune mère de famille sans histoires ? Pour éclaircir le mystère, les enquêteurs vont devoir reconstituer, indice après indice, le déroulement de cette mystérieuse soirée, jusqu'à son incroyable et macabre dénouement.